Ce qui enclenche tout le travail de transformation vers la véritable connaissance,
c’est l’observation de nos déséquilibres qui nous éloignent de notre nature.
Dit par Spinoza c’est « voir ce qui ne répond pas à nos nécessités » et il ajoute plus loin
« le véritable bonheur ne peut advenir qu’en dehors de toutes contraintes aliénantes qui diminuent notre puissance d’être »….
(Texte complet au zazen du jeudi soir)
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Pour rejoindre notre nature il nous faut la connaître de l’Intérieur.
L’expérimenté sans aucune imagination répondant à tous nos jeux de rôle
(féminin – masculin – père – mère – enfant – métier – riche – pauvre – maître – esclave- et cetera)
Tout cela n’est pas l’Être, mais un vêtement recouvrant l’invisible énergie vitale.
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… Le Grand remède en EST Le Détachement de toutes les apparences que nous devons pourtant traverser.
Oui nous avons des rôles à jouer dans notre monde relationnel où tout s’actualise par relation éphémère et interdépendante.
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Seule notre imagination est capable de nous faire croire que c’est possible !!
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Bouddha ajouta :
« C’est pourquoi il ne faut rien prendre ! ni abandonner ! »
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Philippe