Coussin de méditation sur un tapis de méditation
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Trop souvent nous nous effrayons nous-mêmes par notre propre imagination.

— Trop souvent nous nous effrayons nous-mêmes par notre propre imagination.

Trop souvent nous nous effrayons nous-mêmes par notre propre imagination.

Et l’histoire de notre humanité s’est malheureusement développée sur des schémas imaginaires collectifs du genre « de pas assez ! de manque et de peur ! »

C’est comme si nous étions de médiocres artistes qui ne pourraient peindre que des scènes si peu harmonieuses, qu’elles en deviendraient terrifiantes (voir le pourcentage de films et de BD de violence) nourrissant par là même nos propres angoisses.

Ainsi le fou s’effraie-t-il de lui-même dans un univers pourtant neutre.

… (Texte complet au zazen du jeudi soir)

Et pour renforcer cet acte imaginaire de nos peurs, nous y accolons de la mémoire qui densifierait des impressions profondes de « déjà vécues » jusqu’à installer tout cela dans des croyances et des mythologies collectives.

…Toute peur est l’exacte contraire de la confiance, en la vie, en nous, en tout.

Pour avoir peur il faut avoir quelque chose à défendre.

Nous connaissons bien l’expression « nous sommes possédés par ce que nous possédons » Et Bouddha dit « Nous devenons exactement ce que nous pensons »

Et puisque « Cela Est » sans intervention de notre petite volonté, Cela ne nous appartient aucunement, donc rien à défendre comme quelque chose de séparé face à un agresseur potentiel !

Philippe