17/10/24
Dimanche au moulin nous avons échangé sur la nécessité qu’a notre conscience, pour s’apercevoir et pour se comprendre, de devenir réflexive sur elle-même.
Ce premier geste isole l’observateur de son intégrité contextuelle.
Comme pour tout fait scientifique, le mental humain sépare et découpe pour des analyses comparatives et répétitives afin de s’appuyer sur des règles ; structurant la poursuite de ses pensées.
Ce qui veut dire que, dès le début de notre approche sur nous-mêmes, nous passons par une séparation illusoire – et pourtant nécessaire- pour …
… texte complet au zazen du jeudi soir
…Ce n’est grand que par rapport à du plus petit. Ainsi de tous les qualificatifs – du bon, du beau et du vrai – ; et tout rapport se construit inconsciemment en regard à l’observateur.
Ce processus naturel a pour nom « la Dualité » et c’est bien ainsi que nous fonctionnons.
Vouloir y échapper serait folie car cela nierait notre réalité.
Le premier pas …
… Notre dualité doit s’auto-analyser afin de se traverser elle-même en elle-même afin d’accéder au réel sans artifice.
…Cette traversée se réalise par la seule observation non voilée par la réduction du mental.
Observation hyperactive immergée dans le grand Silence…(ZAZEN)
De temps en temps nous passons la tête au-delà de cette dualité… !?!
…Mais le grand saut ne se produit pas pour toujours, car nous voulons encore maîtriser une analyse sur ce qui se passe… !?!
En recréant à …
Notre dualité est notre planche de salut et le seul tremplin qu’il faille utiliser afin de plonger en toute confiance dans le SILENCE de toute question, puisque ce plongeon nous réalise en COMPLETUDE.