Quand tout aspire en nous à un espace plus grand, plus haut, plus heureux et à un niveau difficilement accessible, il est alors nécessaire d’utiliser une ou plusieurs marches.
La première est la perception de nos ressentis qui est à l’origine de notre intuition.
Mais cette perception ne peut se mettre en lecture que par une attention silencieuse (2e marche)…
...(Texte complet au zazen du jeudi soir)
… Cette attention est toujours délicate, innocente et n’est jamais ni bruyante ni démonstrative.
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Ce n’est qu’ensuite qu’un processus plus complexe se met en route, car l’intuition ne dévoile pas tout.
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Les importants moments qui alimentent nos connaissances sont complexes et peuvent même devenir dangereux.
Car toute valorisation égocentrée dans cette étape nous éloignerait immédiatement de notre essence.
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- C’est Le Principe Unifiant « tout le perçu » et qui s’infuse en nous comme l’expérience révélatrice de notre présence.
Avant ce moment-là ; toutes les questions sont légitimes et surtout nécessaires pour sortir de nos vies de somnambule où tout est subi.
Le bonheur ne s’offre uniquement que dans l’action de notre propre création s’unifiant dans le « CE qui advient » en simultanéité.
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C’est alors que nous serons hors de portée de l’ego, car tout le réel certifie, avec puissance, chaque instant comme étant juste et parfaitement à sa place (malgré, parfois, les apparences superficiellement contradictoires)
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(En cela, le zen est vraiment une expérience mystique s’offrant, par le moindre détail insignifiant, à tout notre quotidien)
Philippe