Si nous ne nous connaissons pas, nous ne ferons que maladroitement compenser nos manques.
Pour se connaître, il faut commencer par traverser nos illusions et ignorances. Ce pot de laque noire sans fond.
Noire, parce que c’est tellement de l’obscurantisme que de vouloir modeler le monde et les autres par nos histoires.
Laque, parce que pire que de la glue, elle a un pouvoir d’irritation qui devient très vite insupportable.
Traverser ce pot de laque, …
(TEXTE COMPLET AUZAZEN DU JEUDI SOIR)
… car c’est bien là qu’il y a quelque chose à percevoir : nos dons, nos capacités innées et notre envie absolue de les exprimer sont exactement ce que nous sommes derrière tous nos récits.
Là, je rejoins une certaine physique quantique… Faisant l’exercice de reconnaître toutes nos ignorances passées par l’attention et la lucidité dans le temps présent, je transforme alors les erreurs du passé en des vérités en puissance. (Tout mal est un bien en construction.) Et c’est évidemment tout le futur qui en bénéficiera. Le présent est donc – aussi – ce qui peut modifier le contenu du passé pour le futur.
Le vortex étroit, et auquel on ne peut tout simplement pas échapper, c’est l’humilité. Seule l’humilité sur toutes nos ignorances et illusions transformera le plomb du passé en Or du futur.
Comme tout ne se réalise que dans le présent, nous n’avons qu’une seule attention à activer. Celle …
… Ne serait-ce pas là aimer et être aimé simultanément ?