Coussin de méditation sur un tapis de méditation
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13/11/25 Notre présence est donc « metteur en scène » de tout ce qui est perçu pour arranger et raconter notre propre histoire.

— 13/11/25 Notre présence est donc « metteur en scène » de tout ce qui est perçu pour arranger et raconter notre propre histoire.

13/11/25

Notre présence au monde est insérée dans une histoire culturelle par notre corps.

 

Nous sommes manipulés autant que nous manipulons des objets et concepts qui écrivent collectivement et singulièrement nos histoires.

 

Notre corps « est ce à partir de quoi » les choses et phénomènes se mettent en espace/temps c’est à dire en réalité.

 

Notre présence est donc « metteur en scène » de tout ce qui est perçu pour arranger et raconter notre propre histoire.

Texte complet au zazen du jeudi soir

Ce travail qui se produit à partir de nous-mêmes et pour nous-mêmes est tout ce que Bouddha a dénoncé comme illusion !

C’est-à-dire ce qui nous enchaîne à nous-mêmes par nous-mêmes.

Nous ne voyons et comprenons donc que ce qui, inconsciemment, sert nos constructions intelligibles et émotionnelles.

Hors mon point de fuite, je ne peux donc pas comprendre, car je ne perçois rien d’autre que celui-ci !

 

Mon besoin de complétude va arranger/compléter tout ce qui est hors champ.

C’est pourquoi le mathématicien Dirac disait : « ne pensez pas que de voir …

… Car c’est trop souvent ainsi que, sous un aspect apparemment très logique, nous remodelons les manques et les inconnaissances par des concepts qui nous rassurent en reconstruisant un horizon de vie bien éloigné du réel !!

Reconnaître tout Ce processus nous catapulte en orbite autour de nos fabrications. …

« Là commence vraiment la grande affaire de notre réalité. » Houei-Neng

Philippe